Les Mythes d'Ysarïll - RPG 18+
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Forum rpg 18+, contenu à caractère mature.
Thème médiéval fantastique.
Ouverture en Octobre 2019, remaniement contexte en octobre 2020.
Avatar 200*400 réalistes, pas de minimum de ligne ou de rp demandé
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Maiden Aguerdieu
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02/10/2020
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Gif by Mazikeen
Maiden Aguerdieu
Sorcière de l'ordre de la flamme
Sam 3 Oct - 12:24
Maiden Aguerdieu


Surnoms: La courtisane de l’encre
Âge: 28 ans
Situation familiale: Célibataire
Orientation sexuelle: Bisexuelle
Métier/occupation: Maquerelle (et propriétaire) « Le Miel et la Chair »
Groupe et ordre: Humaine sorcière / Ordre de la flamme rang Flamme
Indolente

Sensuelle

Passionnée

Protectrice

Observatrice

Manipulatrice

Dominatrice

Intransigeante

Tentatrice

Erudite (magie)  

Cheveux: Noir
Couleurs des yeux: Noir
Corpulence: Fine
Signe distinctifs: Tatouée à l’excès, sur une grande partie de ma peau, percée tout autant, on me voit par l’encre que je porte et qui compose mon corps.

Un parfum me suit toujours : santal et fleur de cerisier, odeur entêtante et forte…

Divinité / Magie : Mon corps s’est recouvert d’encre à travers les années, il n’y a aucun rapport avec la magie, j’aime l’encre, je l’utilise beaucoup, j’aime sa présence et sa trace, les tâches qu’elle laisse sur le papier. Enfin, ce n’est pas l’important.

La magie est une chose étrange, je l’ai toujours comprise, plus que le genre humain, je l’ai toujours sentie vibrer en moi. Mes parents étaient des érudits de l’académie, jusqu’à ce qu’ils soient tués, non pas par des sorciers pratiquants, mais bien par leur incapacité à vouloir faire autre chose que théoriser.
J’ai alors refusé de ne pas pratiquer. Mais j’en parlerais plus tard, dans mon histoire. Parlons de ma magie.

Je suis une ensorceleuse, c’est une de mes spécialités, une de mes plus grandes spécialités, dans mon métier, cela s’est avéré une chose nécessaire, mais je prends toujours grande mesure de ne pas créer n’importe quel ensorcèlement. Je noue mes sorts et les gens, je crée des addictions et des dépendances, je pousse le vice ou l’amour, voilà ce que je sais faire et ce que je réussis le mieux. Je n’ai jamais pensé qu’à moi dans mon Art magique, ce qui pourrait m’arranger pour vivre et je dois avouer que, même si j’aurais pu avoir une meilleur place dans la société, j’ai eu celle que je désirais : celle qui permet de se retrouver pratiquement au centre de beaucoup. Car l’être vivant viendra toujours se repaître du plaisir, pour se changer les idées du quotidien, nous sommes les médecins du corps, voilà pourquoi je suis là.

Attention, mes capacités sont dangereuses, je manipule des ingrédients parfois mortel et mon mentor a fini aveugle, mais c’est probablement aussi parce que se priver d’un sens est important pour attirer celui que l’on veut ensorceler. Ne vous limiter pas, par ailleurs eux cinq sens, cela ne veut rien dire à mes yeux. Je ne saurais manier aucun élément, ni autre chose que mes sortilèges dont j’ai la maîtrise : je préfère savoir exceller dans une branche que faire et tout et n’importe quoi. Et il est important de savoir ensorceler correctement. Croyez moi…
Histoire:

J’ai aimé mes parents, le temps qu’ils furent en vie et j’ai fini par les détester. Je n’ai pas honte de le dire, s’ils avaient osé pratiquer alors ils seraient en vie. Mais au lieu de cela, ils préféraient regarder qu’agir.
Je suis la fille de deux Erudits de l’Académie, mon père était théoricien sur les sortilèges d’ensorcèlement sur le vivant et ma mère sur l’inanimé. Ils ont passé des années à étudier, des années à remplir des carnets, à comprendre et classifier. Une passion qu’ils mettaient en duo au point d’oublier de fonder une famille, jusqu’à ce que j’arrive, sur le tard, mes parents avaient presque quarante ans.

Je naquis à l’Académie, ma mère devant finir un travail et ce fut précipitamment que j’arrivais. Rien n’avait laissé deviner ma venue, j’avais deux bonnes semaines d’avances et elle accoucha à quatre pattes sur le sol, sous l’assistance improvisée d’autres personnes présentes. Je fus nommée Maiden.

Je n’étais pas une enfant difficile, venant dans une famille assez riche, une nourrice de lait fut prise. Je me révélais intelligente et curieuse, écoutant toujours ce que racontait mes parents et je sus lire à 4 ans : curieuse de ses livres que mes parents lisaient tout le temps, je désirais faire pareil. Mon père m’apprit alors tout ce qu’il pu des théories magiques en me faisant comprendre qu’utiliser la magie était une chose dangereuses, interdites et offensantes pour les Dieux. J’approuvais avec l’innocence enfantine et pourtant, je sentais au fond de moi gronder le besoin et l’envie de manipuler ce que j’apprenais et qui ne se tût pas, même en grandissant.

Je participais aux jeunes classes de l’académie en tant qu’enfant précoce, et tout aurait été ainsi, pour toujours, si vers mes sept ans je ne ressentais pas ce besoin, viscérale d’agir plutôt que de théoriser. Le besoin impérial était plus fort et je tentais mes premiers sorts, sans succès, quand mon père le découvrit, parce qu’il le découvrit, il me punit et me roua de coup comme jamais il ne l’avait fait. Je me souviens de la badine tombant sur mon corps et me laissant dans une douleur insupportable. Mais elle ne valait rien, à coté de cette sensation manquante qui existait par le manque de pratique.
Ce fut cette année que mes parents moururent, bêtement. Je fus contrainte de rester à demeure, punie et en convalescence, disons-le. Mes parents furent conviés à une réception en dehors de la ville, dans un petit domaine assez riche à l’ouest, hélas, sur le chemin du retour, ils furent attaqués par un Katakan, ils auraient pu se défendre s’ils avaient pratiqué la magie, j’en suis encore certaine aujourd’hui. Mère disait que sceller une protection sur le carrosse était si aisée, mais ils se sont fait déchiquetés et abandonnée par le cocher qui terrifié a pris la fuite. Je suis devenue orpheline.

La question de la suite fut posée, je n’avais pour famille qu’une vieille tante aveugle et mauvaise, mais ce fut à elle que je fus confiée et ce fut elle qui choisit de me recueillir. Au début, je pensais que la fortune de mes parents l’intéressait : c’était vrai, mais en tant qu’enfant, je ne pouvais en jouir et je dois dire que tant que j’avais un toit sur ma tête, le reste…un toit et les carnets de mes parents.
Je voulais devenir magicienne, cela devait être ainsi, je le savais et je ne pensais pas faire offense aux Dieux avec cette volonté : si j’en étais capable alors les choses devaient exister ! Bref…

Ma tante était une vieille courtisane, trempant encore dans un milieu clos de secret et de vérité, elle ne fut ni jamais douce, ni tendre, mais, et je la revois fumer encore sa grande pipe de brou et me dire : tu pourrais être jolie, en grandissant…comme si ce seul fait était important.
Malgré tout, malgré son aigreur et sa distance ma grande tante fut la seule personne dont je fus proche jusqu’à mes 17 ans, elle fut une vieille peau, horrible, désagréable mais derrière tout cela, naquit un lien fort entre nous : elle m’enseigna ce que l’on jugeait interdit.

Quand elle me surprit à essayer des sorts, tenter ou autre, elle maugréa, je crains être battue, mais elle n’en fit rien, elle me confisqua mes livres sans un mot et s’enferma dans sa bibliothèque. Ce ne fut que deux jours plus tard qu’elle me convia à rejoindre sa personne au milieu des livres et où elle me tendit les carnets, des annotations sur du papier entre les pages qui les corrigeaient.  

« Recopies-les, corrigez avec les explications et reviens me voir quand ce sera finit. N’en parle à personne. » Je ne posais pas trop de question, peut-être parce que je comprenais et je fis ce qu’elle me dit, m’y appliquant à chaque temps libre et je mis six mois à recopier, j’avais dépassé mes huit ans, mais j’aurais pu réciter par cœur chaque chose que j’avais écrite. Quand je retournais vers ma tante, elle commença à m’enseigner.
Je partageais ma vie entre l’Académie et les enseignements de ma grande tante, elle pensa franchement faire de moi sa successeuse en tant que Grande Courtisane mais hélas, les choses furent autre. Ma Grande Tante mourut brutalement, un sort qui avait mal tourné et je me retrouvais sans famille à 17 ans. Je découvris ainsi que l’argent n’était qu’une vague notion et que ma tante croulait sous les dettes. Et si je prenais son héritage : maison et autres affaires, je prenais celles-ci aussi. Je choisis de ne rien prendre et je me retrouvais, sans toit, sans nourriture et avec un seul sac de vêtement, ainsi que quelques affaires dissimulées.

Je revendis les carnets de théorie de mes parents pour me faire de l’argent, sans état d’âme, ils avaient été réécrits et corrigé et les originaux ne comportaient rien d’intéressant, des membres de l’académie les désiraient tellement. Mais cela ne régla pas ma vie comme il le fallait. Je me retrouvais rapidement sans argent, sans personne d’influence pour m’aider, ma vie se résuma a peu de chose, je me retrouvais affamée et effrayée, vendant mes derniers vêtements jusqu’à ce qu’une femme me trouve. C’était la Maquerelle du « Le Miel et la Chair » une femme resplendissante qui me fit manger et me proposa un travail de domestique et si je le voulais de plus.

Je me rappelais bien des enseignements de ma grande tante, et j’acceptais le plus, proposant même de vendre ma virginité aux plus offrants, de là ma vie s’engagea dans un nouveau chemin….

Les premières années ne furent pas facile, mais l’utilisation de mon propre corps s’avéra plus facile que je ne le pensais. Je charmais mes clients, au point qu’en cinq ans, ma réputation poussa plusieurs riches maisons closes à m’avoir, je refusais. Je restais là, car la Maquerelle m’appréciait, parce que je m’épanouissais ici en voyant venir des hommes importants, des femmes aussi et parce que je pouvais peu à peu, car je rapportais beaucoup, faire ce qui me plaisait.

On m’apprécia parce que j’offrais des prestations particulières, les hommes de pouvoirs, comme les femmes, aimaient à confier le contrôle, ce que je prenais sans soucis et je devins une courtisane de bordel. L’on venait à moi parce que je pouvais apprendre beaucoup de chose, parfois, j’écoutais simplement ces êtres lassés de leur quotidien et je prenais sr moi de leur offrir une oreille attentive, connaissant la vie de chacun. Une confidente putain. Croyez-moi c’est une chose récurrente et je fis largement mon beurre sur le sujet. La réputation du Bordel s’agrandit et s’améliora, sans parler de l’endroit qui devint plus luxueux malgré sa position portuaire.

Ma vie fut donc bien installée et satisfaisante, jusqu’à ce qu’il arrive, lui. C’était un chevalier de l’extérieur, je le voyais fourbu et lasse, il n’avait pas payé pour moi, j’étais cher, mais je ne sais pas pourquoi, je fis le choix qu’il puisse m’avoir. Je ne vais pas mentir, quelque chose m’attira chez lui…et ce fut le commencement d’une étrange histoire entre une putain et un Chevalier marié.

Quoi qu’il en soit, la Maquerelle fut jugée pour des crimes, crime qui entachèrent la réputation du Miel et de la Chair, je témoignais contre elle, sans heurt, ni remord, elle savait que je ne pouvais faire autrement, un de mes clients de haute position me permit d’hériter de l’endroit et je devins la Maquerelle des lieux…ainsi donc, je suis une Sorcière ensorceleuse au cœur des intrigues de l’Arche.  

Pseudo joueur.se

Comment as-tu connu le forum?: DC
Âge: 34 ans
Je reconnais avoir lu et accepté le règlement. Je certifie sur l'honneur avoir plus de 18 ans:: écrire ici
Es-tu un prélien?: Non


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ANH WHISLE - @"Maiden Aguerdieu"

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Aguerdieu

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PROPRIETAIRE DU MIEL ET DE LA CHAIRE, maquerelle- @"Maiden Aguerdieu"

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<div class="SOUSTITRE">Shaeline la tramevie</div>
►Maide Aguerdieu"



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